Marie-Pierre

« La recherche sur le cerveau c’est très important, car lorsque le cerveau est malade, en particulier lorsque nos neurones meurent, c’est la « mort à petit feu ».

En mettant des moyens financiers sur des projets de recherche médicale par l’intermédiaire du neurodon, on va pouvoir mieux appréhender les mécanismes à l’origine des maladies de « mort à petit feu », c’est une priorité, une urgence même. C’est pourquoi il faut communiquer sur le neurodon, et collecter un maximum. Comprendre c’est déjà agir. Mais pour comprendre, il faut mobiliser des compétences pointues sur des projets de recherche, ça coûte très cher.

Ma maladie a été diagnostiquée en janvier 1999. Je suis neurostimulée depuis 3,5 ans et je suis très très chanceuse car j’ai pu bénéficier de cette opération mise au point par le Dr Alim Benabib. J’avais 40 ans, j’en ai 57 aujourd’hui, et je me déplace en voiture, j’ai encore de l’énergie malgré la fatigue, et toute mon énergie je veux la mettre pour mobiliser du monde pour la recherche sur le cerveau. »

Marie-Pierre, atteinte d'une maladie neurologique, bénévole à la FRC

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